
Celui qui dirige déjà le pays depuis le 30 septembre, à la suite d’un deuxième coup d’Etat en huit mois, ne sera pas éligible pour l’’ensemble des élections prévues en juillet 2024.
Celui qui dirige déjà le pays depuis le 30 septembre, à la suite d’un deuxième coup d’Etat en huit mois, ne sera pas éligible pour l’’ensemble des élections prévues en juillet 2024.
Connectez-vous à votre compte