Il y a soixante ans, le livre de la biologiste américaine lançait le mouvement environnementaliste moderne. Le relire montre que l’usage massif des pesticides dont il dénonçait alors les ravages est aujourd’hui devenu la norme, estime Stéphane Foucart, journaliste au « Monde », dans sa chronique.
Environnement : « “Printemps silencieux”, de Rachel Carson, pourrait avoir été écrit hier »
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