
L’envolée des cours du gaz liée au conflit a gonflé les caisses du royaume scandinave. Les Européens, pris à la gorge par l’arrêt des fournitures russes, espèrent un coup de pouce d’Oslo, à travers la fixation d’un prix maximum. Mais d’aucuns craignent que cela perturbe le marché, note Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».