L’annonce par le gouvernement, en janvier, de la fin de la dérogation permettant d’utiliser des semences enrobées de néonicotinoïdes a pris de court les agriculteurs, qui doivent trouver des moyens de pallier l’usage de ces produits dits « tueurs d’abeilles ».
Après l’interdiction des néonicotinoïdes, les cultivateurs de betteraves du Pas-de-Calais tiraillés entre le bio et l’agriculture conventionnelle
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