
En proie à la guerre, à la flambée des coûts et à la hausse des taux d’intérêt, 2022 a été une année que de nombreuses entreprises européennes – et investisseurs boursiers – préféreraient oublier.
Des stratégies d’investissement soigneusement élaborées ont été bouleversées, d’abord par l’invasion de l’Ukraine par la Russie et la crise énergétique qui a suivi, puis par la flambée des coûts d’emprunt qui a propulsé le rendement des obligations allemandes à 10 ans, la référence européenne, au plus haut depuis plus d’une décennie.