
Sauf à paraître totalement en décalage avec la réalité, en particulier l’urgence climatique, les dirigeants de la Fédération internationale de football ne pourront plus, à l’issue d’une Coupe du monde si décriée, s’affranchir des impératifs environnementaux, sociétaux et de gouvernance estime, dans une tribune au « Monde », Cédric Landu, spécialiste en communication.