
Derrière le patron du chimiste allemand BASF, qui regarde ostensiblement vers la Chine, nombre d’acteurs redoutent une baisse de compétitivité permanente liée à la crise énergétique, observe Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Derrière le patron du chimiste allemand BASF, qui regarde ostensiblement vers la Chine, nombre d’acteurs redoutent une baisse de compétitivité permanente liée à la crise énergétique, observe Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
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