La Chine ne détient que 6 % des réserves mondiales et surexploite ses nappes souterraines. Longtemps adepte des mégaprojets d’infrastructures hydrauliques, elle s’intéresse aujourd’hui à des solutions alternatives.
« En Chine, la qualité, la quantité et la répartition de l’eau sont extrêmement problématiques »
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