Le sociologue danois Nikolaj Schultz analyse, dans son livre, du malaise qui l’a envahi lors de sa visite estivale sur l’île de Porquerolles (Var). Un sentiment propre à nos générations, conscientes des conséquences de leurs actions sur la détérioration de leur propre environnement.
Le « mal de terre », ce vertige existentiel de vivre dans un monde qu’on étiole
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