Berlin a annoncé qu’il allait nationaliser le plus gros importateur de gaz du pays, asphyxié par les coupures russes. Une décision radicale qui pourrait remettre en cause le projet de taxation du gaz et la promesse de réduire la dette nationale, relève Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
« Avec l’affaire Uniper, le gouvernement allemand d’Olaf Scholz n’est pas au bout de ses peines »
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